À quelques jours de la réception de l’Aviron Bayonnais, le Stade Rochelais avance sur une ligne de crête. Entre fatigue accumulée par certains cadres revenus d’Afrique du Sud, fraîcheur retrouvée pour d’autres restés à quai ou en vacances, et souvenirs encore douloureux des derniers faux pas à Marcel-Deflandre, l’équation est délicate. Le revers concédé face …