Ce dimanche après-midi, le Stade-Français Paris se déplacera au Stade Mayol pour y défier le Rugby Club Toulonnais à l’occasion de la quinzième journée du Top 14.
Le club Parisien vit actuellement de grosses turbulences. Plusieurs membres du staff et de la direction ont été licenciés ces derniers jours, dont notamment Julien Dupuy et Robert Mohr.
En interne, ça bouillonne. Certains joueurs se plaignent du management du coach Heyneke Meyer. Les joueurs emblématiques du clubs tels que Jules Plisson, Djibril Camara ou encore Paul Gabrillagues sont mécontents et l’ont fait savoir au propriétaire Hans-Peter Wild via leur avocat.
Mais rien n’évolue dans la bonne direction pour le Stade-Français, malgré des résultats assez prometteurs en championnat (4ème du Top 14 avant la 15ème journée).
Ce samedi, le quotidien Le Parisien nous informe même que le propriétaire Allemand Hans-Peter Wild pourrait décider de jeter l’éponge et de revendre le club dès la fin de la saison actuelle. Il s’agirait d’un véritable coup de tonnerre pour le rugby Parisien.
Ce-dernier serait lassé des tensions qui règnent au sein de son club. De plus, la santé financière du Stade-Français serait catastrophique.
Celui qui a annoncé vouloir faire du Stade-Français la meilleure équipe du monde dans les plus brefs délais se rend finalement compte que la mission s’annonce bien plus compliquée que prévue.
Ce-dernier a déjà injecté près de 40 millions d’euros dans le club et il continue de dépenser à perte. Il faut dire que le Stade Jean-Bouin n’attire pas grand monde les jours de match, 7 000 supporters tout au plus.
Le quotidien Le Parisien précise que les sponsors ne se bousculent pas et préfèrent se diriger vers le Racing 92. Par conséquent, la santé financière du Stade-Français serait catastrophique.
Un proche du club estime que le riche propriétaire Allemand pourrait décider de jeter l’éponge dès la fin de la saison actuelle et vendre le club si rien n’évolue favorablement. Il faut dire que dans le même temps, l’homme doit se battre contre la maladie.
