14 ans plus tard, Thomas Lièvremont n’a toujours pas digéré cette décision et ne pardonnera jamais à son ancien technicien.
Dans les colonnes de Sud-Ouest, Thomas Lièvremont a exprimé son amertume. Extrait:
« Ce n’est pas le fait d’être remplaçant ou titulaire pour une finale. C’est tout un système qui s’écroule. Il y avait à Biarritz un modèle qui reposait sur le respect du groupe. En tant que capitaine, je me suis évertué à prolonger ce que ces mecs avaient mis en place. Sans m’emballer, j’étais peut-être le garant de cet esprit biarrot. Ce jour-là, ils ont décidé de passer dans un autre monde. J’avais dit à Jacques Delmas que je ne lui pardonnerais jamais ce qu’il a fait, et qu’il le paierait un jour. »